Johann Goubail, gérant des Calèches de Versailles, est l’un de ces amoureux des chevaux qui mettent les races de trait sur un piédestal.
Il aurait aimé naître dans ce Paris du début du XXe siècle où fiacres et omnibus occupaient la chaussée. 

Il partage son quotidien avec une vingtaine de chevaux de traits, « pour moi les chevaux sont bien plus que des collègues de travail. Je peux m’appuyer sur eux comme un berger sur son chien. Le cheval de trait est plus sensé, plus réfléchi qu’un cheval de sang. Bien éduqué, il ne perd jamais son sang-froid ».

Entouré de chevaux depuis tout petit, cocher depuis les années 2000, c’est en 2011 qu’il fait naître Les Calèches de Versailles

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